Parjan, membre du Forum Citoyen

Présentez-vous

En trois adjectifs ? 
Curieuse, timide, généreuse.

Quand on entre chez moi, il y a ?
Une cuisine pleine de spécialités de chez moi – le Kurdistan irakien, toujours propre et rangée, prête pour le repas.

Je ne peux pas passer une semaine sans ?
Sortir dans Genève avec mes trois enfants: au parc des Evaux, au Bois de la Bâtie ou aller au Lac.

Auto ou moto ?
Aucun des deux. À pieds ou en bus.

L’endroit où je suis le mieux ?
Seule, au bord du Rhône ou du Lac, à regarder un coucher de soleil.

Parlez-nous du Canton de Genève

Si j’étais un quartier, je serais ?
Plan-les-Ouates, que j’ai découvert en rendant visite à des amis. Je n’aime pas beaucoup le bruit et là-bas il y a beaucoup d’espace et de calme.

Ce que je préfère dans notre canton ?
Le bord du Lac, c’est très beau. J’aime aussi qu’on y trouve beaucoup de nationalités différentes. 

Mon pire cauchemar ?
Quand il y a beaucoup de monde et de bruit en ville.

Mon meilleur souvenir ?
Quand j’ai ouvert mon restaurant en 2018; des spécialités libanaises à la Jonction. 

Ma saison préférée ?
Le printemps parce que les feuilles repoussent, les fleurs aussi. C’est le début de quelque chose de nouveau. 

Si Genève n’avait qu’une seule rue, ce serait ?
L’avenue de France, qui part de la place des Nations et va en direction du Lac. 

Si je plantais un arbre à Genève, ce serait…
Un paulownia, appelé arbre de l’impératrice, sur la plaine de Plainpalais. Il n’y a pas beaucoup de plantes là-bas, c’est dommage.  

Si j’avais une baguette magique (à Genève), je ferais ?
Je changerais la mobilité pour alléger le trafic routier et je donnerais davantage d’appartements aux habitant·e·s. 

Le banc genevois où j’aime m’asseoir ?
Un banc dans le parc de Mon-Repos, face au lac, sous les fleurs. C’est un des lieux où je me sens bien et où ma tête est calme.

Sur ma carte postale envoyée depuis Genève, j’écris…
Une ville adorable.”

Post tenebras lux (ndlr: après les ténèbres la lumière), ma devise pour Genève serait plutôt…
Cette devise me va bien. J’ai traversé une période de ténèbres durant ma vie à Genève et aujourd’hui j’y ai trouvé la lumière.